Le toi + moi est devenu un nous.

« Oh, mon petit homme m'a envoyé un message. Il faut que j'y aille les filles. Il vous envoie le bonjour aussi. » En ce moment presque tout me réussissais. J'emménageais juste à l'instant avec Cameron. L'homme de mes rêves, l'homme de ma vie. Je savais que nous deux c'était juste inévitable. Depuis que nous étions enfants, nous voulions nous marier, même si cela n'était que des paroles en l'air vu que nous étions jeunes, aujourd'hui tout cela semble plus vrai maintenant; j'allais enfin pouvoir vivre ma vie, mon bonheur, mes peines aux côtés de l'homme que j'aime depuis toujours. Le jour où il m'a demandé d'habiter avec lui, je n'ai pas hésité une seule seconde avant de lui donner une réponse. C'était vraiment trop beau pour être vrai, non en fait c'était vraiment vrai. La femme la plus heureuse à côté de ce jour, c'est moi. Cameron était tellement adorable et prévenant avec moi. Lorsque j'habitais dans mon appartement, il venait souvent me porter le petit déjeuner avant que j'aille à l'université. C'était vraiment royal. Cela allait être encore mieux maintenant. J'aurais mon petit homme à domicile tout les jours durant toute ma vie, c'est pas encore plus royal ça ?

Une fois le restaurant quitté, je pris ma voiture et me rendit jusqu'à notre maison. Je fut d'autant plus surprise en arrivant quand j'apperçu la boîte aux lettres avec nos deux noms inscrits. « Oooh, comme c'est mignon. » J'étais vraiment sous le charme. En plus, pendant que moi je papotais avec mes amies, Cameron avait fais mon déménagement tout seul. Il était vraiment adorable, mais je n'allais pas laisser passer cela. Il aurait du m'attendre, ce n'était pas à lui de tout faire tout seul. La voiture fermé à clés, je me rendis dans notre amble demeure. « Cameron, c'est moi! T'es où? » Lorsque j'apperçu qu'il avait déjà rangé mes affaires, les larmes me montaient aux yeux; je ne m'attendais vraiment pas à cela. J'étais comme presque décomposée. Puis je m'avançais doucement vers le salon car il n'y avait aucun bruit dans la maison. J'apperçu alors Cameron couché sur le canapé. D'un sourire attendrit je le vis essayer de se lever, mais sans force, il devait être épuisé le pauvre. Je m'avançais d'un pas rapide vers lui et posa mon sac par terre avant de le rejoindre sur le canapé en m'allongeant à côté de lui dans ses bras. « Tu es l'homme le plus parfait au monde mon amour. Tu as tout déballé tout seul. Tu dois être mort de fatigue. »